Mes trois plus grandes sources d'ennui dans ma vie hors-Qc... Vincent, Sébastien et Isabelle

jeudi 4 décembre 2008

Vive la danse latine!

Hier mon article a enfin paru dans le journal mais je n’en revenais pas : j’ai parlé avec le journaliste pendant presque deux heures et il a tout enregistré, pour finalement, faire une demie-page avec des extraits intégraux du document informatif que j’ai rédigé et que j’envoie pour expliquer le concept du « Happy Singles Group ».

Non seulement il a recopié presque tout mon texte, mais il est également allé chercher une photo de mon album sur Facebook! On a beau me le répéter, mais je vais finir par le croire qu’ici c’est « la loi du moindre effort » qui règne !

En essayant de développer le concept d’activités pour célibataires dans une île des Caraïbes, je suis confrontée à deux extrêmes : d’une part, j’ai reçu le téléphone d’une animatrice de « Morning Show » à la radio qui a trippé sur l’idée, et qui m’a invitée pour une entrevue sur son show lundi prochain, à la station Mix 96 et à peine 30 minutes plus tard, en faisant mes appels de suivis, un opérateur de tours guidés m’a avoué ne pas avoir retourné mes appels parce qu’il pensait que c’était une affaire de « sexe » !

Je lui ai dit que c’était TRÈS important qu’on se rencontre et après quelques minutes, il a accepté.

J’avais un dernier engagement en fin de journée – une réunion mensuelle de femmes d’affaires – où j’ai rencontré quelques femmes intéressantes, mais je fus un peu déçue de voir que l’objectif de cette association visait surtout le bénévolat, plus particulièrement envers les femmes battues et abusées… moi qui s’attendait beaucoup plus à parler « d’Affaires ».

Néanmoins j’y ai fait la rencontre de quelques femmes intéressantes, dont une jeune représentant pour une compagnie pharmaceutique, qui après la réunion – il était environ 20h00 - m’a invitée à l’accompagner pour une soirée de danse salsa, à l’hôtel Savannah. J’ai hésité un peu car pour une raison que j’ignore – la chaleur peut-être – je suis fatiguée très tôt le soir.

Mais je me suis dit que ce sont parfois les imprévus qui sont réservent de belles surprises alors je me suis bottée le derrière et je l’ai suivie… dans son véhicule évidemment.

Je fus contente d’apprendre que les soirées salsa se déroulent chaque jeudi et même s’il n’y avait pas foule, la piqure de la danse m’a reprise. On voyait aussi que les gens étaient vraiment là pour danser, car les hommes faisaient danser toutes les femmes : les jeunes comme les vieilles, les petites comme les corpulentes. Même si je n’avais pas dansé de danse sociale depuis des lustres, j’ai bien essayé de me dérouiller pour une salsa, mais n’ayant pas prévu le coup, j’étais vraiment très mal chaussée pour l’occasion. Par contre, j’ai quitté l’endroit en me disant que de retour à Montréal, je partais m’acheter une paire de souliers de danse !

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