Mes trois plus grandes sources d'ennui dans ma vie hors-Qc... Vincent, Sébastien et Isabelle

jeudi 30 août 2007

Je magasine une maison !

Histoire de leur donner un coup de main, j'ai offert aux gars de poursuivre les recherches de maison.

Je leur ai montré le tableau comparatif que j’ai monté hier dans Excel, pour faciliter nos recherches et nous aider à évaluer nos options et c’est avec plaisir que Daniel m’a prêté son cellulaire pour que j’aie une façon de les rejoindre et à tout le moins, que j’aie moi-même un moyen de communication en cas d’urgence.

J’ai donc passé l’avant-midi à faire des appels et préparer une session de visites. Je n’avais d’autres choix que de me résigner à dîner seule, alors je suis retournée au petit café un peu zen, où j’avais mangé une très bonne salade le lendemain de mon arrivée.

La serveuse était très sympathique, on a jasé un peu d’alimentation, elle m’a indiqué où se trouvait l’épicerie la plus proche, en n’oubliant pas de me recommander la prudence lorsque je me déplace seule !

A 16h00, je suis repartie en taxi avec un agent d’immeubles, M. Tony Reid, qui avait dégagé beaucoup de professionnalismes lors de notre conversation téléphonique de ce matin. Ancien employé d’une banque à la retraite et converti à l’immobilier depuis 14 ans, il fût très gentleman, et m’ouvrait toujours la portière du taxi.

Avant qu’il comprenne que nous avions vraiment un budget à respecter, il a commencé par me faire visiter ce que je ne peux pas appeler une maison, mais une véritable « mansion », avec maison d’invité, quartier pour les domestiques et tout le tra la la. Sans farce, on aurait pu installer une allée de quilles dans le salon ! La cuisine devait bien avoir 30 pieds de comptoir et deux lavabos doubles à chacune des extrémités de la pièce. Bien sûr, à 2,500$/mois, c’est hors de prix mais QUELLE cabane !

Nous sommes ensuite allés en voir une autre, très bien aussi, mais avec une vue déprimante sur de véritables taudis.

De retour à la chambre, je me suis réinstallée sur la terrasse et j’ai continué à travailler… jusqu’à ce que je me décide à prendre des nouvelles de Stéphane, parce qu’il était passé 19h00. On a donc soupé très tard, avec d’autre choix que d’aller au Méridien, l’hôtel le plus chic de Georgetown, le seul endroit où on peut manger dignement à cette heure du soir, puisque nous y sommes arrivés passé 20h00... moi qui déteste manger tard !

Aucun commentaire: