Mes trois plus grandes sources d'ennui dans ma vie hors-Qc... Vincent, Sébastien et Isabelle

vendredi 14 décembre 2007

Je « redécouvre » mes affaires !

Notre ménage est entreposé dans un garage/entrepôt que mon chum possède à Chertsey, à un demi-kilomètre d’où habite sa mère. Ma liste « d’items à ramener de Montréal » sous la main, nous nous y sommes rendus, pour passer la journée à fouiller dans nos boîtes. Avant d’en arriver là par contre, Stéphane a dû se taper quelques heures de souffleuse à neige, pour ouvrir le chemin et nous permettre de reculer le camion pour y embarquer ce que l’on voulait ramener.

Ce ne fût pas de tout repos que de passer la journée à ouvrir et déplacer des boîtes sur des étagères parfois très hautes, à chercher des objets qui au Québec, nous semblent aussi ordinaire qu’une… essoreuse à salade ! Ça pressait entre autre de retrouver notre router sans fil, afin de l’installer chez ma mère, pour que nos lap-top puissent se connecter n’importe où dans la maison.

Ma mère, à qui j’ai donné l’an dernier un vieil ordi pour s’y faire les dents, a débranché son Internet après quelques mois, n’y ayant pas trouvé suffisamment d’utilité. C’était évidemment essentiel pour nous, et comme ce sera notre « pied-à-terre » pour une période indéterminée, nous en avons nous-même payé l’abonnement pour 1 an. J’ai d’ailleurs l’intention de profiter de mon séjour pour la « coacher » et lui montrer comment tirer le meilleur de l’Internet.


Tout en déballant et « redécouvrant » mes affaires, je me suis surprise à presque embrasser ces objets qui nous facilitent le quotidien et qu’ont prend tellement pour acquis. Bien sûr il est possible de vivre sans, mais lorsqu’on les a, pourquoi ne pas en profiter ?

Évidemment nous avons soupé chez la mère de Stéphane, qu’il voyait pour la première fois depuis juillet dernier. De retour à la « maison », j’ai passé le reste de la soirée à finir de défaire les valises et essayer de nous installer le plus confortablement possible. Comme nous avions ramené des vêtements d’hiver de l’entrepôt, il a fallu vider un garde-robe et quelques tiroirs de bureau dans le sous-sol, plus facile à dire qu’à faire quand on connaît la mentalité d’écureuil de mon père, un « ramasseux » prêt à affronter la troisième guerre nucléaire !

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