Mes trois plus grandes sources d'ennui dans ma vie hors-Qc... Vincent, Sébastien et Isabelle

jeudi 24 janvier 2008

Notre chien handicapé ?

J’ai fait du bureau toute la journée. Entre autre, j’ai booké lunch avec membre influent du Rotary Club pour me faire connaître m’ayant été référé et qui supposément pourrait me mettre en relation avec un beau réseau de gens d’affaires…

Après une autre longue conversation avec le partenaire de la firme comptable guyanaise, il m’a demandée de lui « prêter » ma version du logiciel comptable, afin d’étudier davantage le module de gestion de projets dont je lui ai parler. Nous avons donc pris rendez-vous pour la semaine prochaine.

Vers 17h00, Stéphane n’étant pas revenu de sa journée en ville, je suis partie avec Brutus au bord de la mer. Malheureusement, la marée était haute comme rarement je l’ai vue et il nous était impossible de marcher sur la plage ; il fallait marcher du côté externe « promenade » du « sea wall », ce qui pour Brutus est beaucoup moins amusant… J’avais remarqué qu’il traînait de la patte depuis quelques jours et même, qu’il boitait légèrement. Ça devenait de plus en plus difficile de garder la cadence rapide car il cherchait continuellement à s’arrêter, faire semblant de « sniffer », mordillant sa laisse bref, tout pour ralentir le pas.

Cette fois-ci, ce fût pire que pire ! Sur le chemin du retour, il ne voulait carrément plus avancer. Je devais constamment l’encourager, tirer sur la laisse, me fâcher, à tel point que j’ai fini par téléphoner à Stéphane pour lui demander s’il était dans le coin et pouvait venir nous chercher tous les deux.

Il était déjà de retour à la maison mais malheureusement, se trouvait en entrevue avec un candidat et en avait encore pour un bon moment : « Prends ton temps » est tout ce qu’il a pu me répondre… Ce fût l’enfer ! J’ai même essayé de prendre Brutus dans mes bras mais ce fût de la folie pure car j’y arrivais à peine. Avec toute la patience du monde, on a fini par arriver mais il faisait déjà noir !

J’ai préparé le souper et j’ai à peine eu la temps d’en discuter avec Stéphane qui est venu me rejoindre dans la cuisine pendant 15 minutes, le temps qu’un autre homme arrive à 19h30 pour une autre discussion d’affaires. Je lui ai dit qu’il avait peut-être eu raison de craindre l’effet de « consanguinité » dans un aussi petit pays que la Guyane où les Rotweilers sont déjà passablement rares.

Comme c’est connu des éleveurs de chiens de race, celle-ci démontre une faiblesse marquée au niveau des hanches dès que les croisements se font trop rapprochés dans la famille. Je lui donne quelques jours pour se reposer et voir si cela va passer et ensuite, je le ferai voir par le vétérinaire.

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