Mes trois plus grandes sources d'ennui dans ma vie hors-Qc... Vincent, Sébastien et Isabelle

vendredi 23 novembre 2007

Stéphane se fait voler dans son camion !

Avec Stéphane à mes côtés ce matin, je n’avais vraiment pas envie de me lever à 6h00… je me suis donc permise « un peu de lousse » pour me coller sur mon chum, me disant que d’ailleurs je devais contacter un client de Montréal avant 10h00.

Malheureusement, quand je me suis installée à mon bureau, j’ai reçu un message de notre fournisseur d’Internet nous avisons d’une panne généralisée et le service était continuellement intermittent, autrement dit, plus pourri que d’habitude !

En voyant ça et tant qu’à ne pouvoir communiquer adéquatement avec mon client, j’ai décidé d’aller faire des courses, dont retourner au magasin où j’avais trouvé une très belle sélection d’articles de maison, chercher d’autres items dont j’avais besoin. Stéphane m’y a laissé en se rendant à un rendez-vous et quand j’eus terminé, j’ai téléphoné à Sylvie pour savoir si elle était dans le coin, n’étant pas allée au gym ce matin et sachant qu’elle était allée à l’hôpital cette semaine.

Elle s’enlignait justement pour aller dîner à un des deux restaurants qu’on fréquente souvent pour le lunch, l’Oasis Café (l’autre étant le Starbud) et j’ai téléphoné à mon taxi Andrew pour qu’il vienne m’y conduire.

Finalement, comme Gaétan (le mari de Sylvie) s’est pointé lui aussi pour se joindre à nous, j’en ai avisé Stéphane et comme il était également dans le coin, il est venu nous rejoindre. Après le dîner, il devrait faire un aller-retour à la maison chercher des documents, alors il m’a ramenée.

Lorsqu’il est revenu pour souper, vers 18h30, j’étais entrain de préparer un délicieux sauté chinois. Quelques minutes plus tard, il tournait en rond à la recherche de sa mallette d’affaires. Finalement, après avoir réfléchi à ses allées et venues de la journée, il en déduisit que le garage où il a fait réparer deux de ses pneus était le seul endroit où il ait pu se la faire voler, puisqu’il l’avait laissé dans le camion en arrière du fauteuil et qu’il n’y avait aucune trace d’effraction.

Heureusement, il n’y avait pas rien de valeur, pas de caméra, pas d’argent, mais certainement des papiers importants qui lui prendraient du temps à remplacer et retracer… Très frustré et enragé, il a décidé de retourner immédiatement – malgré le souper qui était presque prêt – à ce garage, alors que moi je le suppliais d’être prudent et de ne pas se laisser emporter… on ne sait jamais ici, les hommes sont vite sur la gâchette et le couteau… je sais qu’il peut très bien se défendre et prendre soin de lui mais bon, ça ne m’empêchait pas d’être inquiète.

Comble de malheur, quand j’ai voulu le rejoindre sur son cellulaire quelques minutes après son départ pour essayer de le faire changer d’idée ou du moins lui rappeler que j’avais besoin qu’il revienne, la sonnerie s’est faite entendre dans le bureau ! Il l’avait retiré de sa ceinture en arrivant et dans sa hâte, n’avait pas pensé à le reprendre. Rien pour me rassurer quoi !
C’est avec un très grand soulagement que je l’ai vu revenir un peu avant 20h00. Pour me changer les idées et ne pas me laisser imaginer le pire, en préparant le repas, je venais juste de commencer d’écouter un film – une comédie bien entendu – sur mon lap-top que j’avais installé sur le comptoir de la cuisine. Les nouvelles n’étaient pas très bonnes : les gens niaient quoi que ce soit et il est revenu bredouille…

Nous avons décidé de nous installer dans le bureau pour souper, tout en écoutant ensemble un film qu’on avait déjà vu et très drôle : Wild Hogs. Encore plus drôle, comme nous étions confortablement installés, Pouf ! panne d’électricité !

Heureusement, avec une autonomie de 2 heures de la pile de mon lap-top, nous avons donc soupé à la chandelle, en écoutant notre film ! C’était tellement romantique, que nous avons gardé le set-up, même après la fin de la panne.

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